Catégorie : Moyen format
Année de production : A partir de 1970 Origine : Japon Pellicules : 120 ou 220 (suivant le dos) / Polaroïd Back Dimension des négatifs : 6 x 7 cm Nombre de photos : 10 par film 120 / 20 par film 220 Sensibilité ASA : / Vitesse : 1/400 à 1 + Mode Bulb Autofocus : Non Posemètre : Non avec waist-finder / Oui avec prisme AE Support trépied : Oui Double exposition : Oui Objectifs : Mamiya - Sekor C 50mm f/4.5 Mamiya - Sekor C 127mm f/3.8 Accessoires : Waist-level finder + Lightmeter prism AE (non fonctionnel sur le mien) + déclencheur souple Batterie : Non / Oui pour AE prism finder (CR2) et dos autowinder Plus : Mode Mirror Up (déclenchement sur l'objectif)
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Mon avis :
Une qualité professionnelle, des images hyper détaillées et un plaisir de travailler avec un appareil solide et bien construit.
La mise au point se fait en déplaçant l'objectif fixé au bloc frontal par rapport au boitier via les molettes sur les côtés du boitier. Les deux parties sont séparées par un soufflet où vient s'engouffrer l'air au moment du déclenchement, créant un bruit hyper agréable.
Mon premier moyen format que j'utilise depuis un an et que j'adore, vraiment. Le viseur du waist level finder est gigantesque, assez lumineux et le point est facile à faire, C'est un appareil 100% mécanique avec lequel il est agréable d'apprendre à tout gérer, et je sais que je peux lui faire confiance.
A l'usage il est tout de même très lourd : pas loin de 4kg tout compris avec un prisme sur le dos, le rendant difficile à transporter.
Je l'utilise principalement pour des shoots portraits pendant lesquels je sais que je n'aurais pas à le déplacer.
L'idéal est de l'utiliser sur pieds mais il est possible, à faible dose de l'utiliser également à la main.
Via son système de miroir, l'image dans le viseur est à l'envers, en miroir donc, ce qui est un peu déroutant au début, pas évident de caler son cadrage et de s'y tenir pour faire la mise au point, d'où l'utilité (encore une fois) d'un trépied.
J'ai un verre de visée sans stigmomètre mais quadrillé et c'est parfait pour l'aide au cadrage.
L'image est à l'endroit quand on utilise un prisme, qui contient lui-même un miroir. C'est un peu plus lourd, mais ça vaut la peine si on est mal à l'aise avec la vue du dessus, à l'envers.
On peut utiliser plusieurs dos (qui contiennent les pellicules), un pour la couleur, et un pour le noir et blanc par exemple. Ils sont protégés "hermétiquement" par une plaque de métal située devant la pellicule, empêchant la lumière de s'infiltrer. Le RB67 a un système de sécurité qui empêche le déclenchement lorsque cette plaque n'est pas retirée, ce qui évite d'avoir des pellicules vides... contrairement au RZ67, ou au M645 par exemple.
Les dos sont rotatifs ( à 90°) pour permettre les prises de vue portrait ou paysage sans avoir à bouger l'appareil. C'est très pratique quand l'appareil est sur pieds et que tout est réglé, on ne bouge pas l'appareil mais seulement le dos pour passer du mode portrait au mode paysage. Le format étant 6x7 donc presque carré, cela peut sembler superflus, mais en réalité c'est une option géniale.
En résumé, à part son poids et le fait que j'aurais aimé une gamme d'objectifs avec une plus grande ouverture (le plus lumineux est à f/3.8), c'est une merveille, de très bonne qualité, costaud, et encore trouvable pour pas très cher pour un moyen format.
Une qualité professionnelle, des images hyper détaillées et un plaisir de travailler avec un appareil solide et bien construit.
La mise au point se fait en déplaçant l'objectif fixé au bloc frontal par rapport au boitier via les molettes sur les côtés du boitier. Les deux parties sont séparées par un soufflet où vient s'engouffrer l'air au moment du déclenchement, créant un bruit hyper agréable.
Mon premier moyen format que j'utilise depuis un an et que j'adore, vraiment. Le viseur du waist level finder est gigantesque, assez lumineux et le point est facile à faire, C'est un appareil 100% mécanique avec lequel il est agréable d'apprendre à tout gérer, et je sais que je peux lui faire confiance.
A l'usage il est tout de même très lourd : pas loin de 4kg tout compris avec un prisme sur le dos, le rendant difficile à transporter.
Je l'utilise principalement pour des shoots portraits pendant lesquels je sais que je n'aurais pas à le déplacer.
L'idéal est de l'utiliser sur pieds mais il est possible, à faible dose de l'utiliser également à la main.
Via son système de miroir, l'image dans le viseur est à l'envers, en miroir donc, ce qui est un peu déroutant au début, pas évident de caler son cadrage et de s'y tenir pour faire la mise au point, d'où l'utilité (encore une fois) d'un trépied.
J'ai un verre de visée sans stigmomètre mais quadrillé et c'est parfait pour l'aide au cadrage.
L'image est à l'endroit quand on utilise un prisme, qui contient lui-même un miroir. C'est un peu plus lourd, mais ça vaut la peine si on est mal à l'aise avec la vue du dessus, à l'envers.
On peut utiliser plusieurs dos (qui contiennent les pellicules), un pour la couleur, et un pour le noir et blanc par exemple. Ils sont protégés "hermétiquement" par une plaque de métal située devant la pellicule, empêchant la lumière de s'infiltrer. Le RB67 a un système de sécurité qui empêche le déclenchement lorsque cette plaque n'est pas retirée, ce qui évite d'avoir des pellicules vides... contrairement au RZ67, ou au M645 par exemple.
Les dos sont rotatifs ( à 90°) pour permettre les prises de vue portrait ou paysage sans avoir à bouger l'appareil. C'est très pratique quand l'appareil est sur pieds et que tout est réglé, on ne bouge pas l'appareil mais seulement le dos pour passer du mode portrait au mode paysage. Le format étant 6x7 donc presque carré, cela peut sembler superflus, mais en réalité c'est une option géniale.
En résumé, à part son poids et le fait que j'aurais aimé une gamme d'objectifs avec une plus grande ouverture (le plus lumineux est à f/3.8), c'est une merveille, de très bonne qualité, costaud, et encore trouvable pour pas très cher pour un moyen format.
Catégorie : Moyen format
Année de production : A partir de 1985 Origine : Japon Pellicules : 120 ou 220 (suivant le dos) / Polaroïd Back Dimension des négatifs : 6 x 4,5 cm Nombre de photos : 15 / 16 Sensibilité ASA : 25 à 6400 Vitesse : 1/1000 à 4 + Mode Bulb Autofocus : Non Posemètre : Non avec waist-finder / Oui avec prisme AE Support trépied : Oui Double exposition : Oui : mode Multi Objectifs : Mamiya - Sekor C 35mm f/3.5 Mamiya - Sekor C 80mm f/1.9 Accessoires : Waist-level finder + Lightmeter prism (non fonctionnel sur le mien) + autowinder sous forme de grip poignée qui se fixe sur le côté, à la place de la manivelle (nécessite 6 piles tout de même...) Batterie : Plus : Retardateur électronique Mode Mirror Up
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Mon avis :
C'est la version plus légère, plus compacte et plus lumineuse (mais de résolution presque divisée par deux) du RB67.
Génial! C'est le moyen format avec l'objectif qui a la plus grande ouverture : f/1.9 pour le 80mm. Il est solide, complètement démontable et nettoyable, tout est interchangeable, j'adore. J'ai deux objectifs: un 80 mm f/1.9 (portrait grande ouverture) et un 35 mm f/3.5 (grand angle, peu de déformation, lumineux). Son poids est tout à fait correct pour un moyen format, et il est suffisamment compact pour tenir dans un sac.
On passe d'une photo à une autre avec une manivelle ou un grip batterie (winder auto). Comme le grip fonctionne avec un max de piles, j'ai préféré l'option manivelle mécanique, qui est tout à fait fonctionnelle et qui le rend encore plus compact et léger.
Les dos sont interchangeables sans avoir à terminer les films qui sont dedans. La plaque metallique protège le film de la lumière.
Il a un mode Multi qui permet la double expo (ou plus) très facilement. Il a également un mode M-up (mirror up, qui sert à lever le miroir une fois qu'on a fait la mise au point pour diminuer les mouvements mécaniques et donc atténuer les vibrations au moment du déclenchement. Génial quand on est pas sur trepieds, ça a plus ou moins les conséquences d'un stabilisateur.
Le prisme est équipé d'un posemètre sur lequel on peut ajuster l'expo (-3 à +3), il est très bien foutu.
Le waist level finder, pour la vue du dessus, par contre, n'a pas de posemètre. Mais il est équipé d'une loupe de mise au point.
C'est la version plus légère, plus compacte et plus lumineuse (mais de résolution presque divisée par deux) du RB67.
Génial! C'est le moyen format avec l'objectif qui a la plus grande ouverture : f/1.9 pour le 80mm. Il est solide, complètement démontable et nettoyable, tout est interchangeable, j'adore. J'ai deux objectifs: un 80 mm f/1.9 (portrait grande ouverture) et un 35 mm f/3.5 (grand angle, peu de déformation, lumineux). Son poids est tout à fait correct pour un moyen format, et il est suffisamment compact pour tenir dans un sac.
On passe d'une photo à une autre avec une manivelle ou un grip batterie (winder auto). Comme le grip fonctionne avec un max de piles, j'ai préféré l'option manivelle mécanique, qui est tout à fait fonctionnelle et qui le rend encore plus compact et léger.
Les dos sont interchangeables sans avoir à terminer les films qui sont dedans. La plaque metallique protège le film de la lumière.
Il a un mode Multi qui permet la double expo (ou plus) très facilement. Il a également un mode M-up (mirror up, qui sert à lever le miroir une fois qu'on a fait la mise au point pour diminuer les mouvements mécaniques et donc atténuer les vibrations au moment du déclenchement. Génial quand on est pas sur trepieds, ça a plus ou moins les conséquences d'un stabilisateur.
Le prisme est équipé d'un posemètre sur lequel on peut ajuster l'expo (-3 à +3), il est très bien foutu.
Le waist level finder, pour la vue du dessus, par contre, n'a pas de posemètre. Mais il est équipé d'une loupe de mise au point.
Catégorie : Reflex 35 mm
Année de production : De 1976 à 1984 Origine : Japon Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : 25 à 3200 Vitesse : 1/1000 à 2 + Mode Bulb Autofocus : Non Posemètre : Oui Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : Tous types compatibles FD Canon fd 50 mm f/1.2 Canon fd 28 mm f/2.8 Accessoires : Magnifier Batterie : 1x 4LR44 6V Plus : Retardateur 10 s
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Mon avis :
C'est celui que j'ai le plus utilisé. Assez compact et plus ou moins léger il tient dans n'importe quel sac. Le télémètre fonctionne parfaitement bien et le stigmomètre (le cercle au centre du viseur, divisé en deux) rend la mise au point à f/1.2 assez agréable. Certains objectifs Canon FD sont superbes et pas très chers, j'ai donc un grand angle 28mm f2.8 et un 50mm f/1.2 parfait pour le portrait.
En pratique, dans le viseur, on trouve à droite en vertical toutes les ouvertures possibles de 1.2 à 22 et l'aiguille indique l'ouverture qui correspond à la vitesse qu'on a choisie. On peut donc soit changer la vitesse, soit l'ouverture, pour tomber juste. J'aime ce principe, je cale la vitesse pour que l'aiguille indique 2.8 mais j'ouvre à 1.8, 1.4, voire 1.2 pour avoir une légère surexpo.
C'est mon coup de coeur argentique, celui avec lequel j'ai commencé et même si il commence à fatiguer, c'est mon reflex 35mm préféré !
C'est celui que j'ai le plus utilisé. Assez compact et plus ou moins léger il tient dans n'importe quel sac. Le télémètre fonctionne parfaitement bien et le stigmomètre (le cercle au centre du viseur, divisé en deux) rend la mise au point à f/1.2 assez agréable. Certains objectifs Canon FD sont superbes et pas très chers, j'ai donc un grand angle 28mm f2.8 et un 50mm f/1.2 parfait pour le portrait.
En pratique, dans le viseur, on trouve à droite en vertical toutes les ouvertures possibles de 1.2 à 22 et l'aiguille indique l'ouverture qui correspond à la vitesse qu'on a choisie. On peut donc soit changer la vitesse, soit l'ouverture, pour tomber juste. J'aime ce principe, je cale la vitesse pour que l'aiguille indique 2.8 mais j'ouvre à 1.8, 1.4, voire 1.2 pour avoir une légère surexpo.
C'est mon coup de coeur argentique, celui avec lequel j'ai commencé et même si il commence à fatiguer, c'est mon reflex 35mm préféré !
Catégorie : Reflex 35 mm
Année de production : De 1978 à 1985 Origine : Japon Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : 6 à 12800 Vitesse : 1/1000 à 30 + Mode Bulb Autofocus : Non Posemètre : Oui Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : Tous types compatibles FD Canon fd 50 mm f/1.2 Canon fd 28 mm f/2.8 Accessoires : Magnifier Batterie : 1x 4LR44 6V Plus : Retardateur 10 s |
Dos du canon A-1 (aussi comptable avec le canon AE-1 et tout autre type d'appareil avec les mêmes dimensions d’œilleton) avec la loupe de visée: accessoire qui se glisse sur l’œilleton pour aider à la mise au point. Très très pratique à f/1.2. Attention toutefois, le zoom est très important et central, et on perd la notion d'espace. Il faut quasiment le relever avant chaque prise de vue, impossible à une main, alors on a tendance à bouger un peu et la mise au point est à refaire... le cercle vicieux. A utiliser sur trépied ou sur support fixe pour éviter tout petit déplacement parasite au moment du la relevée de la loupe.
Mon avis :
Grand frère du Canon AE-1, il est sensé être mieux que ce dernier parce qu'il possède un mode priorité ouverture. C'est à dire qu'on choisit l'ouverture (qu'on peut vérouiller mécaniquement d'ailleurs... pas vraiment utile à l'usage), et la cellule gère toute seule l'ouverture. Il ne reste qu'à faire la mise au point manuellement. C'est pratique pour la street photography par exemple, dans un milieu où la lumière varie peu, avec une ouverture comprise entre 2.8 et 8 par exemple.
Par contre, si on veut l'utiliser à f1.2, avec une ASA de 200 ou plus, il indiquera très souvent une surexpo, et il n'aime pas trop ça. Il faudra donc changer l'ouverture sur le boitier ET sur l'objectif, ce qui n'est pas très pratique.
Par contre, c'est génial en basse lumière, ou même de nuit, il suffit de le locker à l'ouverture la plus grande et roulez jeunesse !
Bref, ayant l'habitude d'utiliser l'AE-1 et son système de mesure de lumière avec des objectifs à grande ouverture, je n'étais pas hyper à l'aise avec l'A1.
On le sent quand même un peu plus robuste que l'AE-1 et c'est un appareil de confiance pour mes photos de voyage.
PS : j'ai développé et scanné la pellicule noir et blanc hyper rapidement en rentrant de la rando, et il semblerait qu'elle était endommagée de toute façon, à en croire les trainées verticales lumineuses qui viennent des crans du film. Mea Culpa.
Grand frère du Canon AE-1, il est sensé être mieux que ce dernier parce qu'il possède un mode priorité ouverture. C'est à dire qu'on choisit l'ouverture (qu'on peut vérouiller mécaniquement d'ailleurs... pas vraiment utile à l'usage), et la cellule gère toute seule l'ouverture. Il ne reste qu'à faire la mise au point manuellement. C'est pratique pour la street photography par exemple, dans un milieu où la lumière varie peu, avec une ouverture comprise entre 2.8 et 8 par exemple.
Par contre, si on veut l'utiliser à f1.2, avec une ASA de 200 ou plus, il indiquera très souvent une surexpo, et il n'aime pas trop ça. Il faudra donc changer l'ouverture sur le boitier ET sur l'objectif, ce qui n'est pas très pratique.
Par contre, c'est génial en basse lumière, ou même de nuit, il suffit de le locker à l'ouverture la plus grande et roulez jeunesse !
Bref, ayant l'habitude d'utiliser l'AE-1 et son système de mesure de lumière avec des objectifs à grande ouverture, je n'étais pas hyper à l'aise avec l'A1.
On le sent quand même un peu plus robuste que l'AE-1 et c'est un appareil de confiance pour mes photos de voyage.
PS : j'ai développé et scanné la pellicule noir et blanc hyper rapidement en rentrant de la rando, et il semblerait qu'elle était endommagée de toute façon, à en croire les trainées verticales lumineuses qui viennent des crans du film. Mea Culpa.
Catégorie : Reflex 35 mm
Année de production : De 1987 à 1989 Origine : Japon Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : 6 à 6400 (détection auto) Vitesse : 1/2000 à 30s Autofocus : Oui Posemètre : Oui Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : Tous types compatibles Canon EF Les miens: Canon 50 mm f/1.2 Canon 28 mm f/1.8 Canon 85mm f/1.8 Canon 24-105 mm f/4 Tamron 10-24 mm f/3.5 - 4.5 Accessoires : / Batterie : 1 x 2CR5 lithium 6v Plus : 1er appareil de la gamme EOS: Electro-Optical System Aperture Compensation / Full auto / Full Manual
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Mon avis :
Un appareil très pratique pour moi qui utilise la gamme d'objectifs EF pour mes photos numériques avec le canon EOS 6D.
La batterie tient bien le coup, et le switch entre les modes est assez facile et intuitif.
Ses points négatifs:
- Son poids: un peu lourd dans un sac avec quelques objectifs
- Son Autofocus qui est très lent (premier EOS pour rappel) et qui fait absolument n'importe quoi à f < 4.
C'est un appareil que j'utilise volontiers, puisque je peux y adapter les objectifs que j'utilise quotidiennement en numérique, mais uniquement en faisant la mise au point manuellement, ce qui est plutôt difficile à f < 2, car son verre de visée est assez lumineux, mais complètement lisse ! Je cherche donc un verre de visée de type L équipé d'un stigmomètre.
Un appareil très pratique pour moi qui utilise la gamme d'objectifs EF pour mes photos numériques avec le canon EOS 6D.
La batterie tient bien le coup, et le switch entre les modes est assez facile et intuitif.
Ses points négatifs:
- Son poids: un peu lourd dans un sac avec quelques objectifs
- Son Autofocus qui est très lent (premier EOS pour rappel) et qui fait absolument n'importe quoi à f < 4.
C'est un appareil que j'utilise volontiers, puisque je peux y adapter les objectifs que j'utilise quotidiennement en numérique, mais uniquement en faisant la mise au point manuellement, ce qui est plutôt difficile à f < 2, car son verre de visée est assez lumineux, mais complètement lisse ! Je cherche donc un verre de visée de type L équipé d'un stigmomètre.
Catégorie : 35 mm Panoramique
Année de production : / Origine : / Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 35 x 160mm Nombre de photos : 8 Sensibilité ASA : / Vitesse : 2 modes: Soleil / nuage Autofocus : Non Posemètre : Non Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : Focale fixe. Accessoires : Poignée Motorisée "Motorizer" Batterie : Non Plus : Splendide niveau illustré par un dauphin. Système d'élastique qui permet à l'appareil de faire un tour complet sur lui-même pendant l'ouverture du diaphragme. Packaging plutôt cool, et divers accessoires et extras inclus. |
Mon avis :
Génial !
Pas très sûr de la qualité du mécanisme au début, ni même du rapport temps de pose / ouverture du diaphragme / ASA, etc... j'ai été agréablement surpris.
Il est très très facile d'utilisation. Il suffit de se placer, de tirer sur la gâchette, "personne ne bouge ! ", de lâcher la gâchette et hop, l'appareil fait concrètement un tour sur lui même à un 360 ° quasi parfait pendant l'ouverture.
Attention tout de même à tenir fermement la poignée, la force centrifuge fait que l'appareil est un peu "emmené vers l'extérieur" le temps de la rotation. Je conseille donc de le tenir fermement, bras tendu. Hésitant? Vous pouvez le fixer sur un trépied.
Le niveau (très drôle avec son dauphin) aide au placement à l'horizontal, c'est plutôt pas mal.
Dernier point sympa, la pellicule est shootée sur l'intégralité de sa hauteur, incluant les crans. Effet vintage #tavu.
Bilan: un bon appareil facile à utiliser, parfait pour les panoramiques, ou pour immortaliser les bons moments avec les copains.
Génial !
Pas très sûr de la qualité du mécanisme au début, ni même du rapport temps de pose / ouverture du diaphragme / ASA, etc... j'ai été agréablement surpris.
Il est très très facile d'utilisation. Il suffit de se placer, de tirer sur la gâchette, "personne ne bouge ! ", de lâcher la gâchette et hop, l'appareil fait concrètement un tour sur lui même à un 360 ° quasi parfait pendant l'ouverture.
Attention tout de même à tenir fermement la poignée, la force centrifuge fait que l'appareil est un peu "emmené vers l'extérieur" le temps de la rotation. Je conseille donc de le tenir fermement, bras tendu. Hésitant? Vous pouvez le fixer sur un trépied.
Le niveau (très drôle avec son dauphin) aide au placement à l'horizontal, c'est plutôt pas mal.
Dernier point sympa, la pellicule est shootée sur l'intégralité de sa hauteur, incluant les crans. Effet vintage #tavu.
Bilan: un bon appareil facile à utiliser, parfait pour les panoramiques, ou pour immortaliser les bons moments avec les copains.
Catégorie : Box, twin-lens
Année de production : De 1957 à 1959 Origine : Angleterre Pellicules : 620 (les 120 sont "transformables" en 620) Dimension des négatifs : 5,7 x 8,2 mm Nombre de photos : 8 Sensibilité ASA : / Vitesse : 2 modes: instantané et Bulb Autofocus : Non Posemètre : Non Support trépied : Oui Double exposition : Oui Objectifs : Focale fixe, ouverture fixe f/14, avec 2 viseurs: 1 sur le dessus mode portrait, 1 sur côté: mode paysage Accessoires : Flash vissable sur le côté Batterie : Non Plus : Filtre jaune intégré, à actionner grâce à une tirette |
Mon avis :
Génial !
Cette appareil est hyper ludique. C'est une sorte de petit cube vintage très élégant hyper facile à utiliser et d'assez bonne qualité.
Pour viser, il faut prendre un peu de distance en le tenant au niveau de la ceinture, pas la peine d'essayer de coller votre oeil sur la lentille, vous ne verrez rien. Ses deux modes de visées sont très pratiques d'ailleurs: du dessus pour le portrait, sur le côté pour le mode paysage.
Point de vue mise au point: une tirette vous permet de régler soit une distance de 5 à 10 feet: 1,50m à 3m, soit au dela de 10 feet: supérieure à 3m.
Comme tous les twin-lens (appareil avec deux lentilles frontales - à savoir 3 pour ce modèle finalement), il y a un tout petit décalage entre ce qu'on voit et ce qu'on prend réellement en photo, mais ce dernier est moindre.
Je me suis servi du mode I (instantané) en pleine lumière et du mode B (Bulb) en restant appuyé presque une seconde au coeur de la forêt, là où la lumière était beaucoup moins forte (mais pas à chaque fois), avec un Lomo Earl Grey 100, et je n'ai eu aucun problème d'exposition, en calculant mes temps de pose au pif donc.
En 6x8, ratio 3/4, on fait bien la différence entre le portrait et la paysage, et malgré une lentille qui n'a pas un piqué fou fou, on a une résolution qui permet de belles images.
Seul hic: il fonctionne avec des pellicules 620 qui sont très rares. Cependant, on peut utiliser des pellicules 120 et rogner les bords des cercles en haut et en bas du film, à raz le film, avec des ciseaux ou un coupe ongle par exemple. Attention, pour réceptionner le film, il faudra une autre bobine 620, vide, et pour cela je vous conseille d'utiliser une bobine en métal (qu'il vous faudra redemander au labo photo auquel vous enverrez votre pellicule), parce que le cran de rotation des bobines plastiques dans lequel vient s'insérer le mécanisme d'avancée du film a tendance à prendre du jeu au bout de la deuxième ou troisième photo et finit par tourner dans le vide, vous laissant sans aucun moyen de rembobiner votre pellicule à mi-parcours, et ça c'est nul.
C'est un chouette appareil, j'ai hâte de le réutiliser.
Génial !
Cette appareil est hyper ludique. C'est une sorte de petit cube vintage très élégant hyper facile à utiliser et d'assez bonne qualité.
Pour viser, il faut prendre un peu de distance en le tenant au niveau de la ceinture, pas la peine d'essayer de coller votre oeil sur la lentille, vous ne verrez rien. Ses deux modes de visées sont très pratiques d'ailleurs: du dessus pour le portrait, sur le côté pour le mode paysage.
Point de vue mise au point: une tirette vous permet de régler soit une distance de 5 à 10 feet: 1,50m à 3m, soit au dela de 10 feet: supérieure à 3m.
Comme tous les twin-lens (appareil avec deux lentilles frontales - à savoir 3 pour ce modèle finalement), il y a un tout petit décalage entre ce qu'on voit et ce qu'on prend réellement en photo, mais ce dernier est moindre.
Je me suis servi du mode I (instantané) en pleine lumière et du mode B (Bulb) en restant appuyé presque une seconde au coeur de la forêt, là où la lumière était beaucoup moins forte (mais pas à chaque fois), avec un Lomo Earl Grey 100, et je n'ai eu aucun problème d'exposition, en calculant mes temps de pose au pif donc.
En 6x8, ratio 3/4, on fait bien la différence entre le portrait et la paysage, et malgré une lentille qui n'a pas un piqué fou fou, on a une résolution qui permet de belles images.
Seul hic: il fonctionne avec des pellicules 620 qui sont très rares. Cependant, on peut utiliser des pellicules 120 et rogner les bords des cercles en haut et en bas du film, à raz le film, avec des ciseaux ou un coupe ongle par exemple. Attention, pour réceptionner le film, il faudra une autre bobine 620, vide, et pour cela je vous conseille d'utiliser une bobine en métal (qu'il vous faudra redemander au labo photo auquel vous enverrez votre pellicule), parce que le cran de rotation des bobines plastiques dans lequel vient s'insérer le mécanisme d'avancée du film a tendance à prendre du jeu au bout de la deuxième ou troisième photo et finit par tourner dans le vide, vous laissant sans aucun moyen de rembobiner votre pellicule à mi-parcours, et ça c'est nul.
C'est un chouette appareil, j'ai hâte de le réutiliser.
Catégorie : Compact 35 mm
Année de production : A partir de 1979 Origine : Japon Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : 25 à 400 Vitesse : / Auto Autofocus : Oui, 4 distances (auto) Posemètre : Oui Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : focale fixe 38 mm f/2.8 Accessoires : Flash intégré Batterie : 2 piles AA LR6 1,5 V Plus : Retardateur électronique Mode Mirror Up |
Mon avis :
Trouvé à 8€ avec sa housse et une pellicule, c'était une très bonne surprise.
Ce compact est très facile d'utilisation, assez rapide et de plutôt bonne qualité. Il possède un autofocus, donc pas de prise de tête pour la mise au point, c'est lui qui gère. Attention tout de même, les 4 séries de distances possibles ne sont pas très claires, et il ne fait pas la mise au point à moins d' 1m, voire 1,50m (Cf les 2 dernières photos. Astuce, votre sujet doit être à au moins une bonne grosse longueur de bras), et le focus est au centre du cadre. Pas de "demi-déclenchement" pour la mise au point comme sur beaucoup de SLR, alors pas possible de feinter pour un cadrage au tiers, ou alors il faut faire en sorte que votre sujet soit sur le même plan que votre point central.
Son ouverture à 2.8 le rend très lumineux et fonctionne très bien en basse lumière, pas de soucis de mise au point, ni de temps de pose sans fin. Question netteté, ce n'est pas fou fou, mais c'est plus que bien pour un compact d'entrée de gamme comme celui-ci.
L'angle de 38mm est une merveille, passe partout, autant en portrait qu'en paysage. C'est une focale fixe (ce que je préfère), mais il faut noter qu'il n'y a donc pas de zoom.
Le flash est optionnel, c'est à dire que l'appareil ne le fera pas fonctionner automatiquement en basse lumière, et ça c'est appréciable, et il est assez puissant et convient à des prises de vue en intérieur. Attention, tout ce qui sera à moins d'1,50m sera partiellement cramé et hors du point de toute façon. Je n'ai pas essayé dans le noir total, mais je n'ai eu aucun soucis à faire fonctionner le flash en soirée en intérieur.
Le parallax n'a pas une grande incidence sur le cadrage, en clair on shoote ce qu'on voit.
En résumé: pas cher, de bonne qualité, autofocus donc vraiment cool !
Trouvé à 8€ avec sa housse et une pellicule, c'était une très bonne surprise.
Ce compact est très facile d'utilisation, assez rapide et de plutôt bonne qualité. Il possède un autofocus, donc pas de prise de tête pour la mise au point, c'est lui qui gère. Attention tout de même, les 4 séries de distances possibles ne sont pas très claires, et il ne fait pas la mise au point à moins d' 1m, voire 1,50m (Cf les 2 dernières photos. Astuce, votre sujet doit être à au moins une bonne grosse longueur de bras), et le focus est au centre du cadre. Pas de "demi-déclenchement" pour la mise au point comme sur beaucoup de SLR, alors pas possible de feinter pour un cadrage au tiers, ou alors il faut faire en sorte que votre sujet soit sur le même plan que votre point central.
Son ouverture à 2.8 le rend très lumineux et fonctionne très bien en basse lumière, pas de soucis de mise au point, ni de temps de pose sans fin. Question netteté, ce n'est pas fou fou, mais c'est plus que bien pour un compact d'entrée de gamme comme celui-ci.
L'angle de 38mm est une merveille, passe partout, autant en portrait qu'en paysage. C'est une focale fixe (ce que je préfère), mais il faut noter qu'il n'y a donc pas de zoom.
Le flash est optionnel, c'est à dire que l'appareil ne le fera pas fonctionner automatiquement en basse lumière, et ça c'est appréciable, et il est assez puissant et convient à des prises de vue en intérieur. Attention, tout ce qui sera à moins d'1,50m sera partiellement cramé et hors du point de toute façon. Je n'ai pas essayé dans le noir total, mais je n'ai eu aucun soucis à faire fonctionner le flash en soirée en intérieur.
Le parallax n'a pas une grande incidence sur le cadrage, en clair on shoote ce qu'on voit.
En résumé: pas cher, de bonne qualité, autofocus donc vraiment cool !
Catégorie : vertical folding camera
Année de production : A partir de 1950 Origine : Angleterre Pellicules : 120 Dimension des négatifs : 6 x 9 cm Nombre de photos : 8 Sensibilité ASA : / Vitesse : Equivalent d'un Mode Bulb uniquement Autofocus : Non Posemètre : Non Support trépied : Non Double exposition : Oui Objectifs : focale fixe, 2 ouvertures: f/11 ou f/16 (pas de mise au point) Accessoires : / Batterie : Non Plus : Viseur "rotatif": vertical: portrait / horizontal: paysage Pied escamotable sur le capot frontal pour le faire tenir debout en position ouverte |
Mon avis :
LA déception de la collection !
Ho qu'il est beau ! J'adore l'esthétique de cet appareil, mais c'est une horreur à utiliser.
Certes il est facile à charger, le dos en bakélite est facile à ouvrir, la pellicule facile à charger, la fameuse lentille rouge à l'arrière permet de voir le nombre de photos prises, et aide à l'avance jusqu'à la photo suivante... MAIS le viseur est inutilisable. Très très petit, avec une déformation étrange, on ne comprend pas du tout ce qu'on prend en photo.
La plupart de mes images sont arrivées presque noires, et j'avais pourtant utilisé une cellule (je conseille d'ajouter 3 bons stops au temps de pose indiqué par votre cellule) et la lentille semble être de très moyenne qualité, piqué inexistant, pas de contraste, une espèce de bouillies de couleurs et des photos extrêmement vilaines. A utiliser sur support fixe absolument, car chaque petit mouvement sera fatal.
J'aimerais bien le réutiliser parce qu'il est très compact et assez léger. Toutefois, je ne l'utiliserai que pour des sujets immobiles et je vais devoir renettoyer l'ensemble des pièces en verre (et croiser les doigts pour que le flou vienne d'une pièce qui aurait été mal nettoyée).
LA déception de la collection !
Ho qu'il est beau ! J'adore l'esthétique de cet appareil, mais c'est une horreur à utiliser.
Certes il est facile à charger, le dos en bakélite est facile à ouvrir, la pellicule facile à charger, la fameuse lentille rouge à l'arrière permet de voir le nombre de photos prises, et aide à l'avance jusqu'à la photo suivante... MAIS le viseur est inutilisable. Très très petit, avec une déformation étrange, on ne comprend pas du tout ce qu'on prend en photo.
La plupart de mes images sont arrivées presque noires, et j'avais pourtant utilisé une cellule (je conseille d'ajouter 3 bons stops au temps de pose indiqué par votre cellule) et la lentille semble être de très moyenne qualité, piqué inexistant, pas de contraste, une espèce de bouillies de couleurs et des photos extrêmement vilaines. A utiliser sur support fixe absolument, car chaque petit mouvement sera fatal.
J'aimerais bien le réutiliser parce qu'il est très compact et assez léger. Toutefois, je ne l'utiliserai que pour des sujets immobiles et je vais devoir renettoyer l'ensemble des pièces en verre (et croiser les doigts pour que le flou vienne d'une pièce qui aurait été mal nettoyée).
Catégorie : box, twin-lens camera
Année de production : A partir de 1932 à 1941 ( Modèle V.6, en bakélite, paru après 1937 ) Origine : Allemagne Pellicules : 120 Dimension des négatifs : 6 x 6 cm Nombre de photos par film : 8 Sensibilité ASA : / Vitesse : De 1/175 à 1s + Mode Bulb + T Autofocus : Non Télémètre : Non Support trépied : Oui Double exposition : Oui Objectifs : focale fixe Voigtar 75 mm f/4.5 Accessoires : / Batterie : Non Plus : Retardateur |
Mon avis :
Je n'y croyais pas vraiment en l'achetant à la Place du jeu de balle à Bruxelles, mais cet appareil fonctionne plutôt bien.
Il semble simplement très fragile. Il est léger pour ce type d'appareil (twin-lens), et son déclencheur est très discret, et très sensible. La première fois que j'ai shooté avec, j'ai du déclencher deux fois de suite, bêtement, pour être sûr, tellement on ne se rend pas compte qu'il a en effet bien déclenché.
Le viseur qui se trouve sur le capot supérieur est un peu plus grand angle que l'objectif réel, et on a une sensation de déformation assez importante. Finalement, avec une focale de 75 mm, pas de déformation à noter.
C'est donc un appareil assez élégant, petit, léger, et très facile d'utilisation.
Je conseille de l'utiliser à f > 8 car il n'y a aucune mise au point possible et il est souvent difficile d'évaluer la distance avec le sujet.
Je n'y croyais pas vraiment en l'achetant à la Place du jeu de balle à Bruxelles, mais cet appareil fonctionne plutôt bien.
Il semble simplement très fragile. Il est léger pour ce type d'appareil (twin-lens), et son déclencheur est très discret, et très sensible. La première fois que j'ai shooté avec, j'ai du déclencher deux fois de suite, bêtement, pour être sûr, tellement on ne se rend pas compte qu'il a en effet bien déclenché.
Le viseur qui se trouve sur le capot supérieur est un peu plus grand angle que l'objectif réel, et on a une sensation de déformation assez importante. Finalement, avec une focale de 75 mm, pas de déformation à noter.
C'est donc un appareil assez élégant, petit, léger, et très facile d'utilisation.
Je conseille de l'utiliser à f > 8 car il n'y a aucune mise au point possible et il est souvent difficile d'évaluer la distance avec le sujet.
Anecdote: Ils possèdent une trappe sur le côté gauche, pour ranger des filtres. Dans la trappe du mien, pas de filtre, mais ce petit document: un certificat d'identité de l'appareil, tamponné par la douane Belgo-Luxembourgeoise le 5 Juin 1957.
Je n'ai pas encore trouvé d'info à ce sujet, mais l'histoire me plait beaucoup.
Je n'ai pas encore trouvé d'info à ce sujet, mais l'histoire me plait beaucoup.
Catégorie : Compact 35 mm
Année de production : A partir de 1969 Origine : Japon Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : De 25 à 800 Vitesse : 1/1000 à 1s + mode Bulb Autofocus : Non Posemètre : Oui Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : à monture M42 : Yashica 50 mm f/1.7 Yashica 135 mm f/2.8 Flectogon 35 mm f/2.8 Accessoires : / Batterie : 1 x 4LR44 6V Plus : Retardateur |
Mon avis :
Difficile d'avoir un avis objectif parce que j'ai développé et scanné à la maison les 2 pellicules shootées avec cet appareil. C'était d'ailleurs mon premier développement de film couleur et ça a été l'enfer de maintenir le bain à 38°... Cela étant dit, j'ai bien aimé shooter avec cet appareil. Il est un peu lourd mais solide, les objectifs à monture M42 sont faciles à trouver et pas très chers et c'est un bon appareil pour la street photography, entre autre.
Son point négatif c'est la vitesse qu'il gère tout seul. J'ai utilisé une Ektar ASA 100 et j'avais l'impression que le temps de pose était bien plus long que ce qu'il aurait du être... me faisant rater quelques images à cause du flou de bouger: je m'installe, je clique, je me relève et là j'entends le deuxième clic de fermeture de diaphragme... mince. C'est arrivé seulement sur quelques images, mais c'était tout de même étrange.
Soucis chez moi : comme on peut le voir sur l'image, le retardateur (la petite pièce à gauche de l'objectif) était un peu fragile et a fini par se casser, causant de gros dégâts sur l'engrenage du déclencheur. J'ai essayé de le réparer, mais c'est un bloc complet à revoir de A à Z. Il est toujours en réparation.
Attention, en général, sur les appareils argentiques que j'ai utilisés, les retardateurs sont souvent très fragiles et je conseille d'éviter d'y toucher hors prise de vue et de les utiliser avec parcimonie.
Test à refaire dès que je l'aurais réparé.
Difficile d'avoir un avis objectif parce que j'ai développé et scanné à la maison les 2 pellicules shootées avec cet appareil. C'était d'ailleurs mon premier développement de film couleur et ça a été l'enfer de maintenir le bain à 38°... Cela étant dit, j'ai bien aimé shooter avec cet appareil. Il est un peu lourd mais solide, les objectifs à monture M42 sont faciles à trouver et pas très chers et c'est un bon appareil pour la street photography, entre autre.
Son point négatif c'est la vitesse qu'il gère tout seul. J'ai utilisé une Ektar ASA 100 et j'avais l'impression que le temps de pose était bien plus long que ce qu'il aurait du être... me faisant rater quelques images à cause du flou de bouger: je m'installe, je clique, je me relève et là j'entends le deuxième clic de fermeture de diaphragme... mince. C'est arrivé seulement sur quelques images, mais c'était tout de même étrange.
Soucis chez moi : comme on peut le voir sur l'image, le retardateur (la petite pièce à gauche de l'objectif) était un peu fragile et a fini par se casser, causant de gros dégâts sur l'engrenage du déclencheur. J'ai essayé de le réparer, mais c'est un bloc complet à revoir de A à Z. Il est toujours en réparation.
Attention, en général, sur les appareils argentiques que j'ai utilisés, les retardateurs sont souvent très fragiles et je conseille d'éviter d'y toucher hors prise de vue et de les utiliser avec parcimonie.
Test à refaire dès que je l'aurais réparé.
79Catégorie : Reflex 35 mm
Année de production : A partir de 1979 Origine : Japon Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : 12 à 3200 Vitesse : 1/500 à 1/8 + Mode Bulb Autofocus : Non Posemètre : Oui Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : Auto-Chinon 50 mm f/1.7 Accessoires : / Batterie : 2 x LR44 1,5V Plus : Retardateur 10 s |
Mon avis :
Le photomètre semble être assez fiable, mais ma bague d'ASA est cassée et tourne sur elle-même, je m'en suis rendu-compte quand j'ai rembobiné ma pellicule... donc question exposition, c'était un peu n'importe quoi.
Autre soucis, le seul objectif compatible que j'ai pour cet appareil est en mauvais état : poussières et champignons...
et dernier problème: la mise au point est assez difficile à faire malgré un viseur lumineux et une bague relativement souple. Plusieurs fois je ne savais pas du tout si j'avais le point ou non, et je me suis retrouvé avec des images floues, presque la moitié à vrai dire. La qualité est parfois plutôt bonne, surtout à courte distance mais ça devient vilain à partir de 5m de distance, avec un bokeh plutôt sale.
A ré-essayer avec un autre objectif.
Le photomètre semble être assez fiable, mais ma bague d'ASA est cassée et tourne sur elle-même, je m'en suis rendu-compte quand j'ai rembobiné ma pellicule... donc question exposition, c'était un peu n'importe quoi.
Autre soucis, le seul objectif compatible que j'ai pour cet appareil est en mauvais état : poussières et champignons...
et dernier problème: la mise au point est assez difficile à faire malgré un viseur lumineux et une bague relativement souple. Plusieurs fois je ne savais pas du tout si j'avais le point ou non, et je me suis retrouvé avec des images floues, presque la moitié à vrai dire. La qualité est parfois plutôt bonne, surtout à courte distance mais ça devient vilain à partir de 5m de distance, avec un bokeh plutôt sale.
A ré-essayer avec un autre objectif.
Catégorie : Reflex 35 mm
Année de production : A partir de 1968 à 1973 Origine : ex-URSS Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : / Vitesse : 1/500 à 1/30 + Mode Bulb Autofocus : Non Posemètre : Non Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : à monture M42 : Yashica 50 mm f/1.7 Yashica 135 mm f/2.8 Flectogon 35 mm f/2.8 Accessoires : / Batterie : Non Plus : /
|
Vu l'état extérieur quand je l'ai reçu (dans un lot), je n'en espérais rien. Puis, finalement l'intérieur semblait en bon état, l'obturateur semblait fonctionner correctement... allons-y.
Le cuir était très abimé et se décollait. J'ai tout retiré et appliqué un placage bois (qui n'est donc pas d'origine), et un déclencheur de l'espace intergalactique (pour rire, mais en pratique, je l'utilise sans).
Je n'ai pas encore très bien saisi les réglages de la molette sur l'épaule gauche, mais j'ai tout de même pu faire une pellicule de tests, toujours à 1/60s, qui est une vitesse moyenne, avec un film Lomo à 400 d'ASA, qui est une sensibilité moyenne.
Pas de cellule, je l'ai utilisé à chaque fois, dans différentes conditions de lumière, avec ces réglages et voici le résultat:
NB: j'ai ouvert la porte arrière plusieurs, oubliant à peu près tous les deux jours que j'avais mis une pellicule dedans... le film est donc cramé à 80 %, mais aucun soucis de light leak en général, quand je me rappelle qu'il est chargé...
Mon avis :
Très bonne surprise, il est très agréable et facile à utiliser et j'ai déjà quelques objectifs compatibles, chouette.
Le test m'a permis d'essayer la technique du 1/60 de seconde et je dois dire que j'ai été surpris de l'expo correcte, autant en extérieur qu'en intérieur (humhum, bien exposé vers la fenêtre hein...).
Le petit plus: J'adore au bruit au déclenchement.
Très bonne surprise, il est très agréable et facile à utiliser et j'ai déjà quelques objectifs compatibles, chouette.
Le test m'a permis d'essayer la technique du 1/60 de seconde et je dois dire que j'ai été surpris de l'expo correcte, autant en extérieur qu'en intérieur (humhum, bien exposé vers la fenêtre hein...).
Le petit plus: J'adore au bruit au déclenchement.
Catégorie : Compact 35 mm
Année de production : Après 1989 (sortie du N8000) Origine : Nevada, USA (anciennement Nimslo) Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 12 ou 13 (4 images pour 2 frames) Sensibilité ASA : / Vitesse : 1/60 et 2 ouvertures f/8 (nuages) ou f/16 (soleil) Autofocus : Non Posemètre : Non Support trépied : Double exposition : Non Objectifs : focale fixe Accessoires : / Batterie : Non Plus : 4 objectifs simultanés d'orientations différentes |
Mon avis :
La bonne surprise.
Ma première pellicule était sortie noire. C'était une Gold 200 et je l'avais utilisée en intérieur, sans flash.
J'ai refait un test avec une 400 en extérieur, et voilà qui est mieux.
Cet appareil qui semble être le plus cheapouille de ceux que j'ai est en fait un outil génial pour la réalisation de gifs animés. Il prend 4 photos en même temps, avec dans angles différents. Compilées, ces 4 images donnent un effet "Bullet Time", le fameux effet 3D du film Matrix, pour ne citer que lui.
Aucun réglage, aucune mesure à faire, il suffit de shooter. Je conseille d'utiliser un maximum de plans différents en jouant sur la profondeur pour accentuer la 3D.
Je m'en resservirai bientôt.
La bonne surprise.
Ma première pellicule était sortie noire. C'était une Gold 200 et je l'avais utilisée en intérieur, sans flash.
J'ai refait un test avec une 400 en extérieur, et voilà qui est mieux.
Cet appareil qui semble être le plus cheapouille de ceux que j'ai est en fait un outil génial pour la réalisation de gifs animés. Il prend 4 photos en même temps, avec dans angles différents. Compilées, ces 4 images donnent un effet "Bullet Time", le fameux effet 3D du film Matrix, pour ne citer que lui.
Aucun réglage, aucune mesure à faire, il suffit de shooter. Je conseille d'utiliser un maximum de plans différents en jouant sur la profondeur pour accentuer la 3D.
Je m'en resservirai bientôt.
Catégorie : Moyen Format - 120
Année de production : A partir de 19
Origine : Lomography
Pellicules : 120
Dimension des négatifs : 6x6
Nombre de photos : 12
Sensibilité ASA : 100 à 1600
Vitesse : Auto
Autofocus : non, 3 positions
Posemètre : oui
Support trépied : oui
Double exposition : Oui, mode Mx
Objectifs : Focale fixe 38mm (équiv 21mm) f4.5
Accessoires : déclencheur souple
Batterie : Oui
Plus : hyper compact, objectif sans bouchon avec cache incorporé
Année de production : A partir de 19
Origine : Lomography
Pellicules : 120
Dimension des négatifs : 6x6
Nombre de photos : 12
Sensibilité ASA : 100 à 1600
Vitesse : Auto
Autofocus : non, 3 positions
Posemètre : oui
Support trépied : oui
Double exposition : Oui, mode Mx
Objectifs : Focale fixe 38mm (équiv 21mm) f4.5
Accessoires : déclencheur souple
Batterie : Oui
Plus : hyper compact, objectif sans bouchon avec cache incorporé
Mon avis :
J'avais peu de temps pour tester cet appareil que je ne possède pas. Je l'ai essayé avec un film Lomo 400.
J'ai donc fait un peu vite, en fin de journée et j'ai été surpris en bien.
La cellule fait le job, et l'expo est bonne, même si il a eu tendance à surexposer légèrement quelques photos.
Il est très compact pour un 120, et très facile d'utilisation, le seul réglage à faire c'est la mise au point. Pour ça, 3 options de distance.
La mise au point l'étant pas sur la bague de l'objectif (hey oui, ce n'est pas un reflex...), j'ai eu du mal à me rappeler que je devais faire la mise au point moi-même... mais ça c'est de ma faute. Le petit plus c'est qu'on ne risque pas de perdre le bouchon d'objectif parce que le cache est incorporé à l'appareil, et l'objectif est protégé quand on le ferme.
Le parallaxe peut être un peu déroutant au début mais il est moindre et on le gère au bout de 2, 3 photos.
Gros plus également le mode Mx, hyper pratique. Le format carré, en 6x6, c'était une première pour moi, ce n'est pas vraiment un format qui me passionne, mais vu l'angle, ça passe. D'ailleurs, l'angle de 38mm est juste parfait pour du 120, ça rend l'appareil très polyvalent, autant en portrait qu'en paysage, qu'en street photo (à condition de faire la mise au point correctement), et ça doit même être un bon appareil pour la fashion photography ou tout autre projet qui nécessite la qualité d'un moyen format, mais compact.
Bilan: très bon appareil, de confiance, beau piqué de la lentille 38mm hyper polyvalente, je recommande.
J'avais peu de temps pour tester cet appareil que je ne possède pas. Je l'ai essayé avec un film Lomo 400.
J'ai donc fait un peu vite, en fin de journée et j'ai été surpris en bien.
La cellule fait le job, et l'expo est bonne, même si il a eu tendance à surexposer légèrement quelques photos.
Il est très compact pour un 120, et très facile d'utilisation, le seul réglage à faire c'est la mise au point. Pour ça, 3 options de distance.
La mise au point l'étant pas sur la bague de l'objectif (hey oui, ce n'est pas un reflex...), j'ai eu du mal à me rappeler que je devais faire la mise au point moi-même... mais ça c'est de ma faute. Le petit plus c'est qu'on ne risque pas de perdre le bouchon d'objectif parce que le cache est incorporé à l'appareil, et l'objectif est protégé quand on le ferme.
Le parallaxe peut être un peu déroutant au début mais il est moindre et on le gère au bout de 2, 3 photos.
Gros plus également le mode Mx, hyper pratique. Le format carré, en 6x6, c'était une première pour moi, ce n'est pas vraiment un format qui me passionne, mais vu l'angle, ça passe. D'ailleurs, l'angle de 38mm est juste parfait pour du 120, ça rend l'appareil très polyvalent, autant en portrait qu'en paysage, qu'en street photo (à condition de faire la mise au point correctement), et ça doit même être un bon appareil pour la fashion photography ou tout autre projet qui nécessite la qualité d'un moyen format, mais compact.
Bilan: très bon appareil, de confiance, beau piqué de la lentille 38mm hyper polyvalente, je recommande.
Mon avis :
Review et galerie à venir
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PENTACON PRAKTICA MTL 5
Catégorie : Compact 35 mm Année de production : A partir de 1983 à 1985 Origine : Allemagne " German Democratic Republic " Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : ? Vitesse : 1/1000 à 1s + mode Bulb Autofocus : Non Posemètre : Oui Support trépied : Oui Double exposition : Non Objectifs : Eyemik 28 mm f/2.8 Accessoires : / Batterie : 1 x LR44 pour les modèles récents, sinon PX675 Plus : Verre de visée avec stigmomètre |
Mon avis :
review et galerie à venir
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Catégorie : Compact 35 mm
Année de production : ? Origine : "Made in China" Pellicules : 35 mm Dimension des négatifs : 24 x 36 mm Nombre de photos : 24 ou 36 selon pellicule Sensibilité ASA : / Vitesse : / Autofocus : Non Posemètre : Non Support trépied : Non Double exposition : Non Objectifs : focale fixe Accessoires : Batterie : 1 x AA (pour le flash) Plus : Etanche jusqu'à 30m grâce à son caisson indépendant |
Mon avis :
Le film qui était dans cet appareil avait déjà été exposé, j'attends donc de pouvoir reshooter avec avant de vous montrer des images et de terminer la review.
Très "facile" à utiliser, dans l'eau ou en dehors, avec ou sans caisson. Pas de focus, pas de calcul d'expo, rien, il suffit de "viser", soit dans le viseur classique à travers l'appareil, soit dans le viseur en croix au dessus de l'appareil, et de cliquer, en ayant activé le flash au préalable ou non. Donc c'est facile, mais tu ne gères rien du tout. A moins d'avoir une totale maitrise du calcul de la lumière, c'est du hasard complet.
Gros point positif: L'angle est assez grand, c'est surprenant, je l'aurais pensé bien plus fermé.
Molette de fermeture avec un cran de sécurité, votre appareil ne prendra pas l'eau. Malgré cela, faites attention à ne pas coincer la lanière en fermant le caisson (ça sent le vécu...) et surtout attention à la buée ! Difficile de s'en débarasser, mais en plein soleil, il suffit d'une petite goutte dans le caisson et c'est fini. Il faudra attendre quelques minutes avant de pouvoir le refermer à nouveau.
Il est possible de trouver cet appareil en état neuf pour pas cher.
Le film qui était dans cet appareil avait déjà été exposé, j'attends donc de pouvoir reshooter avec avant de vous montrer des images et de terminer la review.
Très "facile" à utiliser, dans l'eau ou en dehors, avec ou sans caisson. Pas de focus, pas de calcul d'expo, rien, il suffit de "viser", soit dans le viseur classique à travers l'appareil, soit dans le viseur en croix au dessus de l'appareil, et de cliquer, en ayant activé le flash au préalable ou non. Donc c'est facile, mais tu ne gères rien du tout. A moins d'avoir une totale maitrise du calcul de la lumière, c'est du hasard complet.
Gros point positif: L'angle est assez grand, c'est surprenant, je l'aurais pensé bien plus fermé.
Molette de fermeture avec un cran de sécurité, votre appareil ne prendra pas l'eau. Malgré cela, faites attention à ne pas coincer la lanière en fermant le caisson (ça sent le vécu...) et surtout attention à la buée ! Difficile de s'en débarasser, mais en plein soleil, il suffit d'une petite goutte dans le caisson et c'est fini. Il faudra attendre quelques minutes avant de pouvoir le refermer à nouveau.
Il est possible de trouver cet appareil en état neuf pour pas cher.
D'autres (très) beaux appareils que j'aimerais beaucoup, en vrac:
- CONTAX 645, PENTAX ASAHI 67 II, MAMIYA 330, LEICA M6, CANON EOS 1N, KODAK BROWNIE BEAU, LOMO'INSTANT SANREMO, POLAROID SX70, LINHOF TECHNIKA 4X5, TACHIHARA 8x10, ROLLEIFLEX TTL + PLANAR 80 2.8, MAMIYA RZ67, MAMIYA PRESS SUPER 23, HASSELBLAD 500 EL/M NASA 20 YEARS IN SPACE EDITION, NIKON F3, OLYMPUS OM-1 ...
- CONTAX 645, PENTAX ASAHI 67 II, MAMIYA 330, LEICA M6, CANON EOS 1N, KODAK BROWNIE BEAU, LOMO'INSTANT SANREMO, POLAROID SX70, LINHOF TECHNIKA 4X5, TACHIHARA 8x10, ROLLEIFLEX TTL + PLANAR 80 2.8, MAMIYA RZ67, MAMIYA PRESS SUPER 23, HASSELBLAD 500 EL/M NASA 20 YEARS IN SPACE EDITION, NIKON F3, OLYMPUS OM-1 ...
La plupart de mes pellicules sont développées et scannées chez
LES PHOTOGRAPHES
36 Place d'Arme
16100 COGNAC
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